Libres échanges animés par Robert d’Artois
Et si les mots et les langages affranchissaient l’échange du troc, et donc de la relation purement marchande ? Et par là généraient ce que Montaigne appelle « le commerce des hommes…où l’on frotte sa tête au cuir des autres » pour engendrer par dialogues, confrontations, concertations un enrichissement commun, une fertilisation croisée des analyses et réflexions, des récits, légendes et pensées.