Ouvert non seulement aux membres de Confluences mais à toutes celles et ceux qui le souhaitent, le Cercle de lecture de Confluences se réunit toutes les 4 à 6 semaines pour débattre autour d’un livre choisi par les participants.
La séance d’octobre sera consacrée à Claudio Morandini (invité du prochain festival Lettres d’Automne) et à son roman Le chien, la neige, un pied paru en 2017 aux éditions Anacharsis (traduit de l’italien par Laura Brignon).
Entrée libre
Le mot de l’éditeur
Avec Le chien, la neige, un pied, Claudio Morandini compose un conte cruel, une de ces histoires fascinantes et terribles qu’on se raconte le soir à la veillée.
Adelmo Farandola vit seul dans son chalet perdu dans la montagne. Depuis un temps immémorial. Les années ont passé, identiques à elles-mêmes. Quoique. Adelmo Farandola n’a pas le souvenir très lucide. Les saisons s’empilent dans sa mémoire comme en un brouillard indistinct.
Une longue grisaille vécue à l’écart des hommes, dans une solitude absolue, entretenue, revêche, un peu méchante. Mais cet hiver-là surgit un chien. Bavard. Pétulant. La truffe en éveil. Il adopte Adelmo Farandola.
Au printemps, la fonte des neiges révèle peu à peu un pied humain non loin de leur cabane. À qui appartient-il ? Qui l’a mis là ? Adelmo Farandola ne se souvient pas très bien des événements de l’an passé…
Claudio Morandini a obtenu avec Le chien, la neige, un pied le prestigieux Premio Procida-isola di Arturo-Elsa Morante 2016. Auteur d’une demi-douzaine de romans, il est regardé comme un écrivain des plus prometteurs en Italie.
Source: Anacharsis
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