Archives des Lettres d'automne - Page 30 sur 63 - Confluences

À vos masques !

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Avec : Magali Attiogbé

L’illustratrice Magali Attiogbé propose un atelier de création de masques inspirés des masques d’Afrique noire. Réalisés en famille, ils seront accrochés au mur pour donner naissance à une œuvre collective aux « cents visages ». Une idée simple qui permet de travailler sur l’expression des sentiments. Les participants pourront s’amuser à trouver des noms aux masques avant de les exposer.

La Trace du Papillon

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Textes : Mahmoud Darwich et Nadia Tueni
Avec : Camille Sabathier (voix, violon)
et Alexis Kowalczewski (percussions, clarinette basse, chalumeau)

« La poésie est transparente, elle est ce que l’écho dit à l’écho… »

La Trace du Papillon est un voyage en Orient à travers l’oeuvre des poètes arabes : Mahmoud Darwich (Palestine) et Nadia Tueni (Liban). Un violon, une clarinette basse, les percussions et la musique des mots… un écrin organique, sensible et onirique pour les épreuves d’un voyage initiatique, cet exil qui ne quitte jamais
le poète.

Manifestation programmée en partenariat avec la Communauté de commune Quercy Vert Aveyron

Je suis quelqu’un

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Avec : Aminata Aidara
Modération : Gladys Marivat

Un secret hante les membres d’une famille éclatée entre la France et le Sénégal. Mais un jour de juin, le silence se rompt. Commence ainsi une quête de vérité où différentes voix se déploient. À tour de rôle, les personnages démêlent les ficelles du temps et démasquent les injustices historiques qui façonnent nos vies intimes.

Dans ce roman polyphonique on traverse alors les beaux quartiers dakarois, où des drames se consomment sans dépasser les haies des villas. On parcourt aussi les cités et les squats parisiens, pour découvrir que ce qui semble à tous la ruine d’une famille est, en réalité, sa rédemption.

les rendez vous des libraires festival lettres d'automne

Le rendez-vous des libraires #1

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Un rendez-vous privilégié pour découvrir la sélection réalisée par l’équipe de La femme renard pour la librairie du festival.
L’occasion de feuilleter les livres connus et moins connus des auteurs invités mais aussi de découvrir les pépites dénichées par nos libraires autour du thème de ces Lettres d’automne.

affiches des films Kuessipan de Myriam Verreault et Des Hommes de Lucas Belvaux

Préambule cinéma

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18h | Kuessipan
Film de Myriam Verreault (2021) d’après le roman de Naomi Fontaine (éditions Mémoire d’encrier)
Avec : Sharon Fontaine-Ishpatao, Yamie Grégoire, Cédrick Ambroise

Nord du Québec. Deux amies inséparables grandissent dans une réserve de la communauté innue. Mikuan vit au sein d’une famille aimante et Shaniss tente de se construire malgré une enfance bafouée. Petites, elles se promettent de toujours rester ensemble. Mais à l’aube de leurs 17 ans, leurs aspirations semblent les éloigner : Shaniss fonde une famille, tandis que Mikuan s’amourache d’un blanc et rêve de quitter cette réserve devenue trop petite pour elle…

La projection de ce film sera précédé d’une présentation des éditions Mémoires d’encrier par Sophie Barthélémy. Basée à Montréal, cette maison d’édition publie des auteurs québécois, autochtones, antillais, arabes, africains… représentant ainsi une large plate-forme où se confrontent les imaginaires.

21h | Des Hommes
Film de Lucas Belvaux (2020) d’après le roman de Laurent Mauvignier (éditions de Minuit)
Avec : Gérard Depardieu, Catherine Frot, Jean-Pierre Darroussin

Ils ont été appelés en Algérie au moment des «événements» en 1960. Deux ans plus tard, Bernard, Rabut, Février et d’autres sont rentrés en France. Ils se sont tus, ils ont vécu leurs vies. Mais parfois il suffit de presque rien, d’une journée d’anniversaire, d’un cadeau qui tient dans la poche, pour que quarante ans après, le passé fasse irruption dans la vie de ceux qui ont cru pouvoir le nier.

Tarifs et réservations auprès de La Muse

Manifestation programmée en partenariat avec Eidos

Petite restauration proposée entre les deux séances par La Coulée douce

Les rendez-vous de Dire-Lire #3 Avec les lecteurs amateurs de Confluences

Les rendez-vous de Dire-Lire #3

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Avec les lecteurs amateurs de Confluences

À l’heure du café, les lecteurs amateurs de Confluences vous donnent rendez-vous pour une pause lecture, un moment pour partager le plaisir des mots. À voix haute, ils vous proposent de (re)découvrir quelques extraits choisis parmi les textes des auteurs invités du festival ou faisant écho au thème de l’édition.

Détail du programme bientôt en ligne

 

Les rendez-vous de Dire-Lire #2

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Avec les lecteurs amateurs de Confluences

À l’heure du café, les lecteurs amateurs de Confluences vous donnent rendez-vous pour une pause lecture, un moment pour partager le plaisir des mots. À voix haute, ils vous proposent de (re)découvrir quelques extraits choisis parmi les textes des
auteurs invités du festival ou faisant écho au thème de l’édition.

Détail du programme bientôt en ligne

 

Les rendez-vous de Dire-Lire #1

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Avec les lecteurs amateurs de Confluences

A l’heure du café, les lecteurs amateurs de Confluences vous donnent rendez-vous pour une pause lecture, un moment pour partager le plaisir des mots. À voix haute, ils vous proposent de (re)découvrir quelques extraits choisis parmi les textes des auteurs invités du festival ou faisant écho au thème de l’édition.

Détail du programme bientôt en ligne

Visuel de la saison de l'ombre, roman de léonora Miano, lu ici par Nathalie pACGNAC

La Saison de l’ombre

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Texte : Léonora Miano (éditions Grasset)
Adaptation : Nathalie Pagnac
Mise en espace : Le Théâtrophone
Lecture : Nathalie Pagnac, François-Henri Soulié
Musique : Paamath

« Si leurs fils ne sont jamais retrouvés, si le ngambi ne révèle pas ce qui leur est arrivé, on ne racontera pas le chagrin de ces mères. La communauté oubliera les dix jeunes initiés, les deux hommes d’âge mûr, évaporés dans l’air au cours du grand incendie. Du feu lui-même, on ne dira plus rien. Qui goûte le souvenir des défaites ? »

Nous sommes en Afrique subsaharienne, quelque part à l’intérieur des terres, dans le clan Mulungo. Les fils aînés ont disparu, leurs mères sont regroupées à l’écart. Quel malheur vient de s’abattre sur le village ? Où sont les garçons ? Au cours d’une quête initiatique et périlleuse, les émissaires du clan, le chef Mukano, et trois mères courageuses, vont comprendre que leurs voisins, les Bwele, les ont capturés et vendus aux étrangers venus du Nord par les eaux.

Dans ce roman puissant, Léonora Miano revient sur la traite négrière pour faire entendre la voix de celles et ceux à qui elle a volé un être cher. L’histoire de l’Afrique subsaharienne s’y drape dans une prose magnifique et mystérieuse, imprégnée du mysticisme, de croyances, et de « l’obligation d’inventer pour survivre. »