Archives des Lettres d'automne - Page 9 sur 58 - Confluences

L’Autofictif

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Avec Éric Chevillard et Pierre Ducrozet – Modération : Brice Torrecillas.
Éric Chevillard est l’auteur d’une quinzaine de romans, de nombreux livres en tous genres et d’un blog nommé « L’Autofictif » dans lequel il écrit quotidiennement des billets et des fragments. Mais ses romans ne sont pas tout à fait des romans, ses nouvelles ne sont pas exactement des nouvelles, sa poésie n’est pas ce qu’on appelle de la poésie et son journal n’a rien d’intime puisqu’il est publié assidûment.
Cette œuvre, des plus singulières, compte parmi celles qui ont marqué Pierre Ducrozet par son travail virtuose autour des genres, de l’humour et de la langue. Tous deux entretiennent depuis quelques années un dialogue autour de la littérature, qui se prolongera lors de cette rencontre.
“ Adepte de la digression ou de la dissimulation, Éric Chevillard enfreint les règles élémentaires de la narration en défiant les lois du genre de manière audacieuse et effrontée. L’écrivain creuse des galeries souterraines, avec pour armes un sabre à la lame brisée, un hérisson roulé en boule et un sérieux sens de la parade riposte. “ Emmanuel Favre, Le Matricule des anges

Éric Chevillard©Patrice Normand / Pierre Ducrozet©Chris Palomar

L’Arbre

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Théâtre et marionnettes par la Cie Rouges les Anges.
D’après L’Arbre de Sandrine Thommen et L’Amazonie dans mon jardin de Baum et Dedieu suivi d’une dédicace avec Sandrine Thommen.

Il semblerait qu’il soit grand temps de prendre soin de notre planète. Et même que cela devient urgent ! On a dû oublier que ce qui nous entoure est vivant. Nous habitons sur du vivant et nous ne le savons plus. Mais si l’on prête une oreille attentive à cette terre qui nous héberge et nous nourrit, on peut encore écouter battre son cœur. La bonne idée serait d’accorder nos cœurs d’humains à celui de notre terre et de mieux vivre ensemble…

Deux histoires rassemblées en un spectacle pour dire, raconter, observer, réfléchir et réagir. Pour parler de la richesse de la forêt d’Amazonie, des dégâts de la surindustrialisation, des petits riens de notre quotidien qui peuvent faire beaucoup et pour tenter de se réconcilier et de se reconnecter à notre Mère nature.

Manifestation proposée en partenariat avec la Mémo, médiathèque de Montauban. 

Ouverture du festival !

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>18H30
Accueil du public dans le théâtre aux couleurs du festival Décors par l’Espace Bourdelle Sculpture et la Cie Le Théâtrophone.
Ouverture de la librairie du festival avec La femme renard et Le bateau livre.
Intermède dansé par les danseurs de la formation préprofessionnelle du département danse, Pôle des enseignements artistiques de Montauban.

>19H
Interventions des partenaires et présentation des temps forts du programme, en présence des invités d’honneur film réalisé par Jean-Pierre Roussoulières.
Cocktail offert par la Ville.

>20H
Intermède dansé par les danseurs de la formation préprofessionnelle du département danse, Pôle des enseignements artistiques de Montauban.

La Langue bien pendue

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Lecteurs assidus d’auteurs confirmés, dénicheurs de nouveaux talents, la Mémo vous invite chaque mois à partager vos belles trouvailles, à défendre vos coups de cœur ou simplement à écouter et collecter des idées de lectures. Le rendez-vous de novembre est consacré aux auteurs invités du festival. Venez découvrir leurs livres avant de les rencontrer !

Rendez-vous organisé par la Mémo, médiathèque de Montauban.

Variations de Paul

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Texte et lecture : Pierre Ducrozet (Actes Sud, 2022)
Musique : Rubin Steiner.

Les variations, ce sont celles de la musique et du cœur, c’est le rythme de l’existence, ses résonances, ses échos, au sein de trois générations d’une même famille : Antoine le grand-père pianiste de jazz, Paul son fils, chasseur de sons, et Chiara, la fille de Paul, remixeuse des héritages. Le lien d’amour et de filiation, ce qu’il crée de puissance et de malentendus sont au cœur de ce roman.
Porté par l’énergie et la sensualité propre à l’écriture de Pierre Ducrozet, c’est aussi une traversée incarnée d’un siècle de musique.
Le musicien électro Rubin Steiner accompagne cette lecture, créée en 2022 avec l’accompagnement de Petit Bolide Production.

« Placé sous les signes conjugués de la musique et de la grâce, le nouveau roman de Ducrozet confirme son talent de virtuose et son approche profonde de la littérature. “ Yann Perreau, Les Inrockuptibles

Photos : Pierre Ducrozet ©Chris Paloma / Rubin Steiner©Arya Audiovisuel

Sur les traces des lecteurs-enfants que nous étions

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Du 15 au 26 novembre – Du lundi au vendredi de 9h à 18h30 – Le samedi de 9h à 12h30 et de 13h30 à 18h. 

Exposition des projets photographiques des étudiants en Master MEEF premier degré de l’INSPÉ de Montauban menés avec leur enseignante en français, Charlotte Rep. 

Un jour, nos yeux tombent par hasard sur un livre pour la jeunesse qui nous est familier, et nous voilà brusquement envahis par le souvenir de notre première rencontre avec ce livre. C’est ainsi que les étudiants en Master MEEF premier degré de l’INSPÉ de Montauban, sont partis sur les traces des lecteurs-enfants qu’ils étaient à travers des projets photographiques individuels ou collectifs.

Une journée au Japon, et autres Choses petites et merveilles

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Du 10 au 26 novembre – du mardi au samedi – de 11h à 18h. 

Illustrations originales de Sandrine Thommen. 

Au travers de planches originales extraites de plusieurs albums (L’Arbre, Une journée au Japon, Choses petites et merveilleuses, Yôkai, Les Oiseaux globe-trotters), découvrez la délicatesse et la richesse de l’univers de Sandrine Thommen, dont l’imaginaire puise dans la culture japonaise. Son album L’Arbre, fable écologique sans texte qui imagine un nouvel équilibre, plus durable, entre les êtres humains et leur environnement, a inspiré le spectacle de la Cie Rouges les Anges.

Venez rencontrer Sandrine Thommen à la Mémo le 16 novembre.

©Sandrine Thommen

Le Festival en vitrine

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Dès le 27 octobre dans les rues de Montauban ! 

Vitrines calligraphiées par Henri Mérou, peintre en lettres. 

Les vitrines des commerçants et de certains lieux publics de la Ville s’habillent avec les mots des invités du festival. L’apparition dans les rues de nouvelles citations est désormais un rendez-vous traditionnel et attendu, annonçant l’approche des Lettres d’automne !

Photo Henri Mérou @Philippe Colin

 

Regards croisés

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Du 10 au 26 novembre – Du mardi au samedi – De 11h à 18h. 

Photographies de Guy Roumagnac, Yann Le Ligeour, Philippe Colin – Calligraphies d’Henri Mérou. 

Depuis la création de Lettres d’automne, des photographes ont accompagné chaque édition, capturant les visages, les rencontres, les instants singuliers qui ont fait l’histoire du festival.
Guy Roumagnac (également membre fondateur de Confluences) a, au fil des années, été rejoint par Yann Le Ligeour, Philippe Colin. Nous leur avons proposé de choisir, de façon subjective et sans se soucier de chronologie, quelques-unes des photographies qui, pour eux, ont particulièrement compté.
Ces images seront accompagnées par des calligraphies d’Henri Mérou, dont l’écriture est devenue familière aux Montalbanais car voilà plus de dix ans qu’il déploie dans la ville les mots des auteurs invités par le festival.

Vernissage samedi 19 novembre à 11h30. 

©Guy Roumagnac

Je suis au monde

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Du 15 au 27 novembre – Tous les jours – De 11h à 18h. 

Textes de Julieta Cánepa & Pierre Ducrozet.
Illustrations (reproductions) de Stéphane Kiehl.

Parfois on oublie. On s’habitue aux choses qui sont devant nous. On finit par ne plus les voir.
Qu’ont-elles à nous apprendre ? Comment tous ces éléments si différents s’allient-ils pour former un tout qu’on appelle Terre ? Quelle est notre place dans cet ensemble, et quelle pourrait-elle être ? Pourquoi cette Terre est-elle menacée aujourd’hui et que pouvons-nous y faire ? Approchons-nous de ces animaux, de ces forêts et de ces océans pour écouter ce qu’ils ont à nous dire de l’état de la planète et de ses habitants.
Cette exposition présente ce documentaire publié par Actes Sud en 2021. Un bel album qui invite les (jeunes) lecteurs à un grand voyage autour du monde pour observer les phénomènes, les mystères, les changements, pour regarder de très près et essayer de penser le plus largement possible.

©Stéphane Kiehl